Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
J’t’avais offert un bouquet d’immortelles, gage de constance éternelle, mais égarés, dans des galaxies parallèles, entre combustions et dégels
Sacré Cœur en plein ciel, ultime duel à l’hôtel où les anges sont infidèles
Séduction, gestuelles et grosses ficelles à la pelle, jeux inconséquents et cruels
Pseudo rebelle, tout en toi est fake et virtuel, typique des petits criminels
Ce soir ton make-up a salement coulé et la soirée vient juste, à peine de commencer
Désormais hors-jeu, de toi, j’ai fait le deuil, je n’ai plus que blessure d’orgueil, hélas, blessures d’orgueil
De mes yeux, tu étais l’unique prunelle, mais ton brutal coup de scalpel est un coup fatal et mortel
Dans mon costume trois pièces anthracite, de flanelle, j’t’ai brûlé la cervelle…