Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Je voulais te blesser, piquer ton orgueil. Dent pour dent œil pour œil, c’était n’importe quoi…
Sauver les apparences, vu les circonstances, prendre de la distance et m’éloigner de toi
Ton SMS, dans le trafic: Tu dis qu’tu penses à moi tout le temps…Les allers, les retours, à l’envers, à rebours
Refaisons leur parcours, tu sais qu’elle n’était rien pour moi
Je reviens te chercher et dans un commun élan nous sommes attirés comme le seraient deux aimants
Finis les petits jeux, finis les contrejours, les griefs silencieux et les flous dangereux
Finies la comédie et la parodie d’un pseudo paradis, tu sais qu’elle n’était rien pour moi
Je reviens te chercher et dans un commun élan, nous sommes attirés comme le seraient deux aimants