Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Étienne Daho
Tous deux dressés contre les vents, le ciel fou zébré d’éclairs, empoisonne les sangs de pirates égarés en mer
Lorsque nos extrêmes se frôlent, nos éclats de voix et nos vers, claquent comme des coups de fouet, à l’Alchimiste, à l’univers
Il ne te reste, quelques kilomètres, avant qu’tu ne touches mon âme que cessent les derniers jours de pluies
Il nous reste quelques kilomètres pour voir disparaître un jour peut-être les derniers jours de pluies
Les yeux brillants des soirs de fête et le mal du pays. Le compte est à rebours, jusqu’au bout du bout de la nuit
Premiers rayons éblouissants, aux plus jeunes heures du jour, dessineront tous les contours de nos silhouettes endormies
Il me reste quelques kilomètres avant que je n’touche ton âme et que cessent les derniers jours de pluies
Il nous reste quelques kilomètres pour voir disparaître un jour peut-être les derniers jours de pluies
Nous aurons le cœur qui cogne, à bouche-à-bouche que veux tu…
Il ne nous reste que quelques mètres avant que n’se touchent nos âmes et peut-être que cesseront les pluies
Il ne nous reste que quelques mètres pour voir disparaître un jour peut-être les derniers jours de pluies