Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Giorgio Canali
Accroché au plafond per les pieds
De toute manière le haut, le bas c'est des idées très personnelles
J'observe la vie qui coule à flots de ma tele sur le plancher sans même envisager
De fermer le robinet, allez allez… coule la vie…
Coule jusqu'à inonder le réz de chaussée de cet enfer et toutes ces têtes d'epicier
Qui jour et nuit me prennent la mienne
Coule rien que pour pourrir l'intimité des canapés ou en peignoir on mate la nuit
Son porno softizé B.C.B.G. coule la vie… allez allez…
Et on pourrait supposer que la liberté
C'est du cul non crypté à la tele
Et trois fois trop, trois fois rien à branler
Des sujets de discussion autant en emporte l'avion
Et les flics restent sans metier
Mais vous en faites pas on en verra encore des boyaux dans le décor
Monsieur le ministre des interieurs
Pendu à mon perchoir la tête en bas je me demande si
C'est du redressage de situations pas claires
J'ecoute mon cœur qui boite au rythme de la voix qui coule impitoyable mot à mot
Du poste radio de ma voisine allez allez… coule la vie…
Coule jusqu'à noyer tous ces nazis au cerveau rasé et croix ratée
Et tous les autres cachés au ministère de la santé
Gens qui de ma santé n'ont rien à battre, la seule chose qui compte pour eux
C'est de compter mes limphocytes T4, allez allez… coule la vie…
Et on pourrait soupçonner que la verité
Est ecrite en petits caracters sur nos carte d'identité
C'est pour ça qu'on est fouilles pour un oui et pour un non
Et toutes ces perquisitions c'est pour notre securité
Et mon cul c'est du poulet comme si il y en avait deja pas assez
Des poulets dans cette ville… allez allez allez allez…