Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé & Benjamin Biolay
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Devant un chocolat chaud
A minuit au café de flore
Et la pluie qui coule a flot
Et tes mains douces qui m’effleurent
Quelques traces au coin des lèvres
Un souffle un baiser rouge nuit
Déposé sur fond de fièvre
Pour y essuyer ton ennui
A la closerie des lilas
Un whisky entre les voix
Et la saveur de l’absinthe
Brûle au coin de ses yeux de sainte
Laisse goutter dans mon cou
Le goût d’un liquide aigre doux
Jouant la Seine sur ma chair
Pour s’éterniser dans mon verre
Paris en touriste chez l’interdit
En terre inconnue on se fuit
Taxi, on bat le pavé chaque nuit
On erre de l’une a l’autre vie
Tant pis
Un café sur un quai de gare
Au train bleu, noir c’est noir
Sous les ombres je te cherche
Mais les wagons pleins sont de mèche
Je t’attrape un dernier regard
Il aurait fallu un retard
Pour qu’à mes rails tu t’attaches
Pour qu’on s’apprenne
Pour qu’on se sache
Un perrier rondelle sur la butte
Nos souvenirs accusent la chute
Et reviennent en reflet reluire
Dans mon dos drapé de cuir
Relire sans fin tes missives
Empreintes de tes mains attentives
Trop d’images sous mon front brûlant
Nos clichés je te les rends
Paris en touriste chez l’interdit
En terre inconnue on se fuit
Taxi, on bat le pavé chaque nuit
On erre de l’une a l’autre vie
Tant pis
Paris en touriste chez l’interdit
En terre inconnue on se fuit
Taxi, on bat le pavé chaque nuit
On erre de l’une a l’autre vie
Tant pis
Taxi, on mord le pavé chaque nuit
On erre de l’une a l’autre vie
Tant pis