Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé & Benjamin Biolay
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Toi qui rêves au velours des vierges
Aux satins innocents
Ces jeunes sirènes émergent
D'un océan de sang
Regarde-les s'approcher
Comme légions d'amazones
Venues braver les cyclones
Jeunes et brillants archers
Leur arc et leurs yeux bandés
S'aventurant dans des zones
Inexplorées
Toi qui rêves au velours des vierges
Aux satins innocents
Ces jeunes sirènes émergent
D'un océan de sang
Vois-tu là -bas leurs chevaux
Courir un vent de folie
La hargne de ces furies
Leur passant par les naseaux
Ils se jettent à l'assaut
Se ruant à l'agonie
Au grand galop
Toi qui rêves au velours des vierges
Aux satins innocents
Ces jeunes sirènes émergent
D'un océan de sang
Cohortes en rangs serrés
S'éloignent les filles d'Eve
A la lueur de ton glaive
Va-t'en compter les blessés
Là -bas l'un s'est relevé
Et te supplie dans ton rêve
De l'achever
Toi qui rêves au velours des vierges
Aux satins innocents
Tes romans-fleuves ont des berges