Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé & Benjamin Biolay
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Élodie Frégé
Tu dors, happé par des rêves
Où elles t´offrent sans remords
Le sucre, la sève
Mais sans ce coeur...qui bat
Se bat...contre toi
Tu dors, et nulle conscience
Ne saura t´éveiller
Pas son mal en silence
Qui tâche l´oreiller...tu l´as
Déjà...presque oubliée
A celle, qui a perdu l´estime
Pour elle même qu´on abîme
Parce qu´elle est la femme d´une vie
A celle, dont la fierté rend l´âme
Pour un fantasme d´homme
Qui lui a dit