Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
La rivière que j’ai sous la langue,
L’eau qu’on n’imagine pas, mon petit bateau,
Et, les rideaux baissés, parlons à flots
Dans le vague. La parole roule et tangue
Au gré des vaguelettes, le murmure d’un ruisseau.
Sous la surface de l’eau la face cachée des mots
Casse et fâche à contre courant tout ce qui nage en haut.