Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Paul Éluard
Au milieu d’une île étonnante
Que ses membres traversent
Elle vit d’un monde ébloui.
La chair que l’on montre aux curieux
Attend là comme les récoltes
La chute sur les rives.
En attendant pour voir plus loin
Les yeux plus grands ouverts sous le vent de ses mains
Elle imagine que l’horizon a pour elle dénoué sa ceinture.