Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Jeanne Cherhal
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes hommes perdus
Ne vous poussez pas trop dans les rangs
C’est assez grand
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes chers disparus
Parlez sans crier, je vous entends
Je vous entends
Saltimbanque qui me manque
Sur ta route, va
Continue-la sans moi
Mais de toutes les voix, la tienne
Aura toujours un goût que j’aime
Tu es là
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes hommes partis
Chuchotez au creux de mon oreille
Dans mon sommeil
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes âmes enfouies
Je vous reconnais dans le soleil
Dans le soleil
Homme sage d’un autre âge
Au bord des fossés
Lisait dans mes pensées
De toi je garde en souvenir
Le goût des tout petits plaisirs
Tu es là
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes absents
Dans mon cœur et mon sang
Je fais brûler l’encens
C’est beau cette fumée qui descend
Toi enfin, toi d’où je viens
Qui as choisi tout seul
La couleur du linceul
Tu sais que tu le veuilles ou non
Pour tous ceux qui portent ton nom
Tu es là
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes hommes perdus
Je vous porte en moi à tout jamais
Vous mes morts et vous mes vivants
Vous mes chers disparus
Vous êtes les hommes que j’aimais