Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
Pierre Perret
(T. Gautier)
I
Je bande trop. De ma culotte
Je sors mon vit qui dcalotte
Son champignon
Tremidi, seul dans sa chambre
En ttette avec son membre
C'est du guignon
II
Mon jacquemart me tend le ventre :
Dans quelque-chose il faut que j'entre
Cul bouche ou con
Mais je ne vois pas ma voisine
Lanant son ?illade assassine
De son balcon
III
En vain Coco dresse sa huppe :
Dans la maison pas une jupe
Pas un bonnet
La pine au poing, pose quivoque
Dfaut de con je t'invoque
Veuve Poignet
IV
Mais la Chimre ouvre sa porte
Une femme entre,gorge forte
Reins puissants
Qui retrousse chemise et cotte
Met sous mon nez sa grosse motte
Aux crins frisants
V
Puis je l'empoigne par les hanches
Et j'carte ses cuisses blanches
De mon genou ;
Dj ma pine triomphante
De l'abricot perant la fente
Y fait son trou
VI
Serrant le cul, haussant la croupe
Les pieds en l'air comme en un groupe
De Clodion
Elle absorbe toute ma pine
Et retrouve de Messaline
Le tordion
VIl
Un flot de liqueur prostatique
Du temple mouillant le portique
Ecume au bord ;
Sous le choc du vit qui la pousse
Elle criechaque secousse :
Vas-y plus fort !
VIII
Les yeux noys, de plaisir ple
Jusqu' la garde elle s'empale
Comme autrefois
Du dieu Priape au fond d'un antre
Les filles s'enfonaient au ventre
L'outil de bois
IX
Quand j'ai bien goutt mon tube
Je vois s'envoler le succube
Aux beaux seins nus
Je deviens flasque, je dbande
Et je regrette mon offrande
Fausse Vnus
X
Sur mes doigts en nappes s'panche
Dj froide, la liqueur blanche ;
Tout est fini
Et j'offre pour ton microscope
Le rsultat de ma syncope
Spallanzani !