Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Russell Watson
Pourquoi me reveiller, o souffle du printemos?
Sur mon front je sens tes caresses
Et pourtant bien proche est le temps
Des orages et des tristesses
Demain, dans le vallon
Se souvenant de ma gloire premiere
Et ses yeux vainement chercheront ma splendeur:
Ils ne trouveront plus que deuil et que misere!
Helas! Pourquoi me reveiller, o souffle du printemps?