Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire
Ô naturel désir pour l’homme être roi
On est revêtu de la carte de son royaume
Les fleuves sont des épingles d’acier semblables à tes veines où roule l’onde trompeuse de tes yeux
Le cratère d’un volcan qui sommeille mais n’est pas éteint
C’est ton sexe brun et plissé comme une rose sèche
Et les pieds dans la mer je fornique un golfe heureux
C’est ainsi que je l’aime la liberté
Et je veux qu’elle seule soit la loi des autres
Mais je suis l’ennemi des autres libertés