Nébuleuse

[Paroles de "Nébuleuse"]

[Intro]
Encore une fois
Brass
Ok

[Refrain]
Rien qu’en m’isolant, je reprenais du métier
J’ai chassé le souvenir qui me collait quand j’étais
Non, j’disais juste qu’en m’isolant, je reprenais du métier
Pour écrire l’amoureux trahi qui s’reconnait dans mes textes

[Couplet]
Au sommet de mon désarroi, je me sens seul et désolé
Désormais, je me dézingue et dans mes souhaits les plus chers, j'ai (non!)
Des semaines que j’ai décelé, d’où vient ce mal intentionnel
Dans mon sommeil, lorsque j’avais cru que je l’entendais sonner
J’regarde le ciel, j’essaye vaguement (De quoi ?)
D’écrire le C.L.E.J et ses vacances, ouais
J’écris c’putain de décès, donc j’écris le siège laissé vacant
J’écris mon père, les cheveux gris, qui garde l’ivresse de ses 20 ans
J’ai dû accepter le mal qui m’a précédé
Je me demande encore combien de temps, je rapperai ces textes (Combien ?)
On m’a dit, c'est maintenant parce qu’après c’est dead
Je reste pressé d’être l’homme que je n’suis pas pressé d’être (Ah ouais)

[Pre-refrain]
La nébuleuse apparaissait sous tes traits
C’est cheum quand il n’est plus l’heure de t’embrasser sur les lèvres
Une pause, joli délai qui n’a pas vraiment su m’aider
Quand je m’emmerde, je lis tes lettres paraphrasées sur mes textes
J'ai dit, la nébuleuse apparaissait sous tes traits
C’est cheum quand il n’est plus l’heure de t’embrasser sur les lèvres
Une pause, joli délai qui n’a pas vraiment su m’aider
Quand je m’emmerde, je lis tes lettres paraphrasées sur mes textes

[Refrain]
Rien qu’en m’isolant, je reprenais du métier (Ouais)
J’ai chassé le souvenir qui me collait quand j’étais
Non, j’disais juste qu’en m’isolant, je reprenais du métier
Pour écrire l’amoureux trahi qui s’reconnait dans mes textes

[Couplet 2]
Et progressivement penser le monde à perdu vie
Réfléchir par axiome, c’est n’avoir pas peur du vide
Je ne cesserai de mépriser tous ces rappeurs futiles
Ni d’écrire le champ d’action que tu donnes à ta perfidie
J’étais abîmé de l’amour qui m’était donné par Aphrodite
C'qu’il prodigue n’est pas d’ma faute, j’serai interné pour ma folie
L’arme à feu répare, à tort, tous les vœux qu’on avait promis
Et par défaut, je reste le porte-à-faux d’une âme en péril
J’étais abîmé de l’amour qui m’était donné par Aphrodite
C'qu’il prodigue n’est pas d’ma faute, j’serai interné pour ma folie
L’arme à feu répare, à tort, tous les vœux qu’on avait promis
Et par défaut, je reste le porte-à-faux d’une âme en péril
Peintre d’une vie qui me répugne, je dois vaincre l’envie d’ignorer
Convaincre des auditeurs qui ne m’écoutent que d’une oreille
Qu’importe ce que j’apporterai, s’il faut détruire des forteresses
Ce monde où le désordre règne, je le résorberai
Une fois partie je savais bien que tu larmoierais
Il n’existe aucune limite pour aimer ardemment
Je t’ai bloqué partout, donc barre-toi et pars loin mec
Essaye de te débrouiller par toi-même

[Refrain]
Rien qu’en m’isolant, je reprenais du métier
J’ai chassé le souvenir qui me collait quand j’étais
Non, j’disais juste qu’en m’isolant, je reprenais du métier
Pour écrire l’amoureux trahi qui s’reconnait dans mes textes