Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Les gens d'ici ne sont pas les miens
Ils s'en vont seuls au lendemain
En oubliant leur vie d'antan
Comme elle se ternit doucement
Les gens d'ici se croient vivants
Comme ils en oublient le présent
Ils clament leurs envies sans y croire
Ils baissent les yeux pour ne plus voir
Les amis de passage
Ne restent jamais bien longtemps
Les amis de passage
Se fanent comme les roses dans le vent
Et sur la route ils seront ceux
Qui traînent leur vie comme un aveu
Ils s'habitueront aux remords
Se résigneront à leur sort
Les amis de passage
Ne restent jamais bien longtemps
Les amis de passage
Se fanent comme les roses dans le vent
Les gens d'ici sont condamnés
Les gens d'ici sont épuisés
Les gens d'ici ne veulent plus rien
Les gens d'ici ne sont pas les miens
Les amis de passage
Ne restent jamais bien longtemps
Les amis de passage
Se fanent comme les roses dans le vent