Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Zaza Fournier
Que tu chantais pour moi
Je me souviens de ton front
Qui se plissait parfois
Et je revois le soleil
Qui nous brûlait les yeux
Cette envie sans pareil
De n’être rien que nous deux
Te souviens-tu du café
Où on allait souvent
Au début de l’été
Faire la route en marchant
Je revois notre table
Qui était un peu bancale
La déco un peu minable
On s’en fichait pas mal
C’était hier je crois
C’était il y a cent ans déjà
C’était hier je crois lalala
C’était il y a cent ans déjà
Je me souviens d’un matin
A courir sous la pluie
De ma robe en coton
De ta chemise aussi
Tu attrapes ma main
Je t’entendais crier
« On court jusqu’à demain »
C’était le mois de juillet
Te souviens-tu de la chaleur
De cet après-midi
On s’était allongées
Parmi les pissenlits
Je me souviens de l’ombre
Et du parfum des fleurs
Le ciel est devenu sombre
On est rentrées de bonne heure
C’était hier je crois
C’était il y a cent ans déjà
C’était hier je crois lalala
C’était il y a cent ans déjà
Je me souviens de la chanson
Que tu chantais pour moi
Je me souviens de ton front
Qui se plissait déjà
Je n’ai pas tout oublié
Me reviennent parfois
Ces heures, ces jours passés
Souvenirs de toi
C’était hier je crois
C’était il y a cent ans déjà
C’était hier je crois lalala
C’était il y a cent ans déjà
C’était hier lalala
C’était hier lalala
C’était hier je crois
C’était il y a cent ans déjà