5e morceau du projet “Les Portes de l'Eau et du Vent”.
Ce morceau s’appuie sur le roman “Jonathan Livingston le goéland” (1973) de Richard Bach.
Je me compare ici au héros, Jonathan Livingston, et j'espère que vous comprendrez le message général du son.
[Couplet 1]
Style d'avant dans la manière de penser
Je panse, et m'élance, la relance est amorcée
L'impression de parler morse lorsque mon regard est posé
Sur ces chiens ayant pour seul réponse une morsure enragée
Morcelées sont mes pensées sur ce morceaux mais
J'essaie d'exprimer mon délaissement de la foule c'est
Mon attitude magnétique qui m'éloigne de la masse faut croire
J’suis dans ma grotte...light ce zbar
J'm'attarde pas, sur vos valeurs plus que douteuses
J'fuse et fous le feu, pendant que tu focus tous ces gueux
Et check ! J'ausculte les cieux, toi tu spécules sur eux
Je te laisse faire, suis le mouve à dire que la vie est un jeu
Sans rire, j’suis loin du bad, c'est juste que ça m'attriste
Continuez à fixer les choses fausses, moi j'me taille j’vais vivre
Sûrement pas d'amour et d'eau fraîche je te l'accorde
Mais au mois pas de sales tours et de paraître, dans un sale décor
[Refrain]x2
J'aime mes semblables comme Jonathan
J'pousse au-delà de mes limites comme Jonathan
Mon esprit est libre comme Jonathan
Toujours en marge comme Jonathan
[Couplet 2]
Et dans c'monde où tout est misé sur l'apparence
Apparemment l'apparat ment sur l'appartenance
J’te devance, j’suis pas la tendance, seulement la bonne direction
L'élection des Miss France m'importe autant que vos discutions
Mais si tu sondes le fond de ma parole tu capteras
Que je bataille hard pour n’pas vous téma et perdre la foi
En l'humanité car mon esprit philanthrope prend des coups bas
Des innocents prennent des rafales et toi tu parles de Nabilla
Mais vas-y là, c'est trop vicelard, j’vois ici-bas des cannibales
Et les gens bavent sur la vie de leurs semblables, c'est quasi barge
Et j'parle d'images, mais ça change rien, c'est si dommage
Je manie l'mic, toujours le smile, même malgré ce triste constat
Ici on a la fâcheuse tendance à oublier l'essentiel
Laissant si faible place à nos rêves, on brûle nos ailes
Oui tel Icare. On joue les délicats sans délits graves
Et moi je délie ta langue de pute façon CIA
[Refrain]
[Refrain]