Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Maxime Le Forestier
Nulle part, hors saison on a quitté l'âge de raison
On s'est jeté l'un contre l'autre, au milieu d'un désert le notre
Et on s'est laissé presque morts
Toi sans passeport, moi sans valises, passe encore le décor
C'est une histoire grise
Mais passe pas le blanc, l'oubli sur ce souvenir-ci
Penses-y, les jours sans joie les jours de pluie pense à moi
Pas de mots pas de miroirs, d'ailleurs on est resté dans le noir
Et tout semble incompréhensible, toi sur mes lèvres encore sensible
Je me suis retrouvé seul, et alors
Pas même sur un port, pas même à Venise
Passe encore le décor, c'est une histoire grise
Mais passe pas le blanc, l'oubli sur ce souvenir-ci
Penses-y, les jours sans joie les jours de pluie pense à moi
Que l'eau sur ton corps, jamais ne détruise
Ni colore le décor de cette histoire grise
Mais passe pas le blanc, l'oubli sur ce souvenir-ci
Penses-y, les jours sans joie les jours de pluie pense à moi
Pense à moi