Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Belle que fais tu par un temps pareil
Le froid de l'hiver est cruel
Aux portes de la nuit je t'appel
Belle ainsi les demoiselles
Sur les alignements de pierre
A la légère depuis des millénaires
Dans sa bergerie rêve le berger endormi
Portes grandes ouvertes a la nuit
Je pense a ton cœur Jeanne
Belle aux choses basses des femelles
Ou le de rien a tire d'ail
Comme les étoiles s'éteignent
Oh belle si tout converge vers le ventre des mers
Zigzagant devant la tanière
Qui pourrait nous tirer d'affaire
Dans sa bergerie rêve le berger endormi
Portes grandes ouvertes a la nuit
Je pense a ton cœur Jeanne
Belle qu'aurions-nous fais la nuit dernière
Je t'ai vu a la septième affaire
Choisir la viande et le fer
Oh belle l'avion survolait la bruyère
Puis soudain le chemin de fer
Posé sur le manteau d'hiver
La cause du désir condamne au firmament
L'aube est indécise et pourtant
Je pense a ton cœur Jeanne
Belle dois-je me brûler la cervelle
Derrière tes volets de fers
Tout ça bien sure a la légère
Oh belle reviens sur la gaze légère
J'ai deux cerises aux lèvres
Ma reine hostile veille
Il fait un froid de loup dans la nuit des forets
S'impatiente le grand gibier
Je pense a ton cœur Jeanne