Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Aimer c'est être aimé amour n'est pas querelle Renforce moi le cœur de couleurs immortelles Si tout est vanité de ta flemme éternelle Dresse ma vanité garde moi le premier Si jeune d'aventure au grand gouffre marin Quelle mer en me vieillesse tout à l'écart me tient Que j'ai semé l'automne, l'automne ou bien l'hiver Quelque part où que j'aille partout la chose amère
Du troupeau la génisse lente fougère dorée La beauté du visage qui se hâte d'aller Que je me rêve instant si la chose à un terme La saison est passé ne cherche pas querelle Que veux tu déchirer au compte de maison Que je perde courage que je meure en t'aimant Qu'ai-je fait pour mourir pour mourir en ce lieu Sur le sentier vulgaire où pleurent les amoureux
Aimer c'est être aimé amour n'est pas querelle Renforce moi le cœur de couleurs immortelles Si tout est vanité de ta flemme éternelle Dresse ma vanité garde moi le premier Si jeune d'aventure au grand gouffre marin Quelle mer en me vieillesse tout à l'écart me tient Que j'ai semé l'automne, l'automne ou bien l'hiver Quelque part où que j'aille partout la chose amère
Du troupeau la génisse lente fougère dorée La beauté du visage qui se hâte d'aller Que je me rêve instant si la chose à un terme La saison est passé ne cherche pas querelle Que veux tu déchirer au compte de maison Que je perde courage que je meure en t'aimant Qu'ai-je fait pour mourir pour mourir en ce lieu Sur le sentier vulgaire où pleurent les amoureux
Depuis l'homme premier en ce monde inconnu Les choses non pareil s'échappent dans les nues La bête est dangereuse dans son plus grand besoin Il me faudrait le cœur, le cœur de magicien Jamais un cœur ne change il faut monter plus haut Sur cette étrange terre parmi les animaux Aimer c'est être aimé amour n'est pas querelle Renforce moi le cœur de couleurs immortelles