X. plicit Sentence

"Dans ce boulot, la devise c’est : vite, bien et sans bavures
Et surtout, toujours penser à effacer les preuves"

(Explicite sentence)

Eh, machin, j'ai mis les gosses dans la machine
Ta femme dans la bassine, dont je suis l’assassin
Voici l’illuminé, venu uriner dans ton dîner
Approche, que je puisse mieux te ruminer
(Premièrement) j'élabore un plan démoniaque :
J’attrape le MC que je viole puis que je plonge dans l’ammoniaque
Thermostat 4, à petit feu arrosé d’armagnac
Crois-moi le rap depuis est devenu insomniaque
Le découpeur est à l’appel
Avec sa machette en guise de scalpel
C'est ta boîte crânienne que je martelle
Et l'émail de tes dents que j’écartèle
Et puis que je dissémine entre Londres et Marseille
Sache que lorsque je sors de mes gonds
Il m’arrive de faire flipper les démons :
Face à moi le diable redevient bon
Et j’ai fait beaucoup de mal à ta maman
En effet cela fait plus d’un an que je suis son amant
Je l'ai mise en cloque, elle y croyait cette conne
Je l'ai moi-même avortée, j’ai gardé l'embryon dans une bouteille de rhum
Je me suis chargé de ton pote, j'étais caché derrière sa porte
J’ai pris ses omoplates, j’en ai fait de la compote
Tu cherches les bras de ta petite sœur ?
Regarde dans le mixeur
J’ai mis le reste du corps dans l’incinérateur
Tuer devient trop facile, je me fends la poire aux assises
Voici celui qui met du cyanure dans ta josacine
Donc si tu l’ouvres, eh ben je te coupe la langue
Ainsi que le bout du gland, sache que dans ma boîte à gants
Je détiens tes phalanges, donc qu'on m'amène le suivant
Quant au grand-père qui dormait sur le divan (Euuuuh)
Je l’ai enterré vivant
Armé d’une barre en titane, j'ai tercé dans la capitale
J’ai tué ton frère sur son lit d’hôpital
J'ai tout d’un animal
Le vrai pro de l’excision vaginale
Mes ongles sales arrachent tes amygdales
J'ai plusieurs bêtes en moi tel Manimal
Et revoici l’aigle
Celui qui te fait bouffer le string de ta sœur quand elle a ses règles

Explicite sentence

"Mais mais mais, mais pourquoi êtes vous si méchant ?
Pourquoi ?
Pourquoi ?"