Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Sylvie Vartan
Qu'elle soit tapée à la machine
Avec des mots de tous les jours
Ou écrite à l'encre de Chine
Comme imprimée sur du velours
Qu'elle rappelle le temps du collège
Ou d'un long week-end à Cabourg
Il n'y a rien de plus sacrilège
Que brûler Une Lettre D'Amour
Parce que c'est la seule chose qui reste
Quand le spectacle est terminé
Plus que les paroles et les gestes
Les fleurs qu'on a laissé faner
Parce que c'est la seule chose au monde
Que le temps ne peut effacer
De ce bonheur qui nous inonde
Pour un simple bout de papier
Qu'elle raconte l'histoire clandestine
D'un homme et d'une femme au coeur lourd
De devoir rester anonymes
Au lieu de s'aimer au grand jour
Quand les mots s'accordent en arpège
Comme sur une musique de Gainsbourg
L n'y a rien de plus sacrilège
Qe brûler Une Lettre D'Amour
Parce que c'est la seule chose qui reste
Quand le spectacle est terminé
Plus que les paroles et les gestes
Les fleurs qu'on a laissé faner
Parce que c'est la seule chose au monde
Que le temps ne peut effacer
De ce bonheur qui nous inonde
Pour un simple bout de papier
Parce que c'est la seule chose au monde
Que le temps ne peut effacer
De ce bonheur qui nous inonde
Pour un simple bout de papier
Qu'on puisse y lire entre les lignes
Sous les tremblements, les ratures
Ou les petites phrases assassines
Comme un avant goût de rupture
Ll n'y a rien de plus sacrilège
Que brûler Une Lettre D'Amour