SMW

[Couplet 1 : Schmidt]
Du talent, du culot
Impatient, trop de mots
Invasion, sans vaisseau
J’inonde, les flow
Bouée de sauvetage, désole du naufrage
Mais couler, c’est normal, quand on ne sait pas qu’on nage
Dans la merde, tu crois que tu flottes
T’en as pas l’air, mais je vois la salope
En toi c est clair, je ne peux pas avoir confiance
A quoi ca sert, que le passé se recense
La science infuse, une tisane avariée
La France inculte, un état de vérité
Tais toi, mon cul, cause toujours tu m’intéresses
Je suis le gars qui tue, par amour toute ivresse
Pèses tes mots, fils de pute quand tu t’adresses
A un tas d’minots, pour qui tu luttes avec paresse
Sèches tes eaux, petite fleur va t’épanouir
Tu n’comprends pas l’égo et tu me parles de construire
Rire du pire, mon passe temps favori
Jouir de fuir, conquérant de l’infini
On est plus que c’qu’on croit et encore plus que c’qu’on pense
On n’se souvient juste pas, cause de mémoire qui flanche
Bouge tes hanches, fait un don coup d’reins gratuits
Bouche de l’ange, fais un son pour rien vas-y
Ahh, cries, hurles, fais ce que tu veux
J’articule, pour que tu comprennes mieux
Séances de sismothérapies sur les ondes
Présomption d’innocence, le verdict tombe
Tout vient à point, à qui sait bien cuir
Je vous ouvre le chemin, sur les sentiers suivez le guide
En voyage permanent
Au pluriel je précise, mes âmes sont plus de cent
Froid, je viens de dire un truc bizarre
Crois, en ce que tu veux mais tu t’égares
Sur tes gardes tu n’es pas tu gobes tout de ton Jnoun
Faux départ explique moi pourquoi tu te mets à genoux
Fou ? Ouais ! J’t’emmerde je dis c’que j’pense
Foutaise, toute religion n’est que mensonge
Prouesses, écrites de merde flatulences
Vous êtes, tous des chèvres en mon absence
Airant, dans un monde qui ne veut pas vous comprendre
C’est peinant, pour tout l’monde de ne pouvoir se faire entendre
Le pouvoir, tu l as tu t’en fout tu te poses pas d’questions
Pourquoi, t’es là qu’est c’que tu fout quelle est ta mission
Fausses directions, j’répète, j’t’équilles
Pause précision, j’te jette dans tes orties
Quoi qu’il se passe, je l’aurai prédis
Toi si tu te fâches, tu seras une victime
Fictive à mon tableau, de chasse imaginaire
Merci qui ? SCHMIDT Mehdi Walter