Bernard Alane, Dominique Tirmont, Jean Piat
Jean Piat & Francis Lalanne
Bernard alane
Alan Menken
Alan Menken
Francis Lalanne & Jean Piat
Bernard Alane, Michel Mella & Perrette Pradier
Alan Menken
Bernard alane
Alan Menken
Alan Menken
Alan Menken
Bernard alane
Eternal
Bette Midler
Ophélie Winter
Maurane
[FROLLO]
Le monde est cruel, le monde est méchant
Je suis le seul qui veuille ton bien dans cette cité
Je suis ton seul ami
Je te nourris, t'instruis, t'offre un abri
Je regarde ta laideur sans peur
Comment protéger ta vie si tu ne demeures pas ici ?
Toujours ici
(parlé)
Rappelle-toi ce que je t'ai appris, Quasimodo
(chanté)
Tu es difforme
[QUASIMODO]
Je suis difforme
[FROLLO]
Et tu es très laid
[QUASIMODO]
Et je suis très laid
[FROLLO]
Ce sont des crimes aux yeux des hommes qui sont sans pitié
Mais tu ne comprends rien ?
[QUASIMODO]
Vous êtes mon défenseur
[FROLLO]
En bas, ils te traiteront de monstre
[QUASIMODO]
Je suis un monstre
[FROLLO]
En bas, c'est la haine et le mépris
[QUASIMODO]
Oui, rien qu'un monstre
[FROLLO]
Tu dois fuir leurs calomnies, leur intolérance
Reste ici, reste-moi fidèle
[QUASIMODO]
Je suis fidèle
[FROLLO]
Reconnaissant
[QUASIMODO]
Reconnaissant
[FROLLO]
Fais ce que je dis, obéis
[FROLLO & QUASIMODO]
Et reste ici (Je reste ici)
[QUASIMODO, parlé]
Vous êtes si bon maître, je suis désolé
[FROLLO, parlé]
Je te pardonne, mais n'oublies pas, Quasimodo. Ceci est ton sanctuaire
[QUASIMODO, parlé]
Mon sanctuaire
(chanté)
À l'abri des fenêtres et des parapets de pierre
Je regarde vivre les gens d'en bas
Chaque jour j'envie leur vie, moi qui vis solitaire
Mais leur histoire je ne la connais pas
J'apprends leurs chansons, leurs rires, leurs visages
Moi je les vois mais eux ne me voient pas
Je voudrais, tour à tour, rencontrer ces personnages rien qu'un seul jour aux pieds des tours
Tout en bas, vivre au grand soleil
Sans regarder le ciel
Une seule fois partager leurs joies
Je crois qu'ils n'entendent pas la voix
De mon cœur qui se meurt
Quand je vois les gens d'en bas
En bas, j'entends les tisserands, les meuniers et leur femme
Leur bonheur insouciant me brûle et m'enflamme
Leurs cris qui résonnent jusqu'au cœur de Notre-Dame
Font saigner les larmes au cœur de mon âme
Si j'avais cette vie je vivrais à la folie
En bas, sur les bords de Seine, je goûterai
La joie des gens qui se promènent si pour un jour
Un seul jour, je quittais ma tour
Ce serait merveilleux d'être heureux
À mon tour, faire un tour
Alentour de ma tour
Rien qu'un jour, un jour en bas