DF & Cerk
DF & Cerk
DF & Cerk
DF & Cerk & Vald & Geabe (FRA)
DF & Cerk & AD
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DF & Cerk
La production et le texte datent d’il y a quatre ans. Techniquement, c’est un peu en-dessous de ce que je fais aujourd’hui mais le message est là. Comme n’importe quel gars de 19 ans, je me suis fait prendre pour un con par une fille parce qu’à cet âge-là, elles sont beaucoup plus intelligentes que...
Aujourd’hui je fais le point, il est deux heures du matin
J’t’écris des mots d’amour, vidés de leurs sens
Avec si peu de conviction que j’en perds mon latin
Tellement fatigué de toi que j’en ai même plus conscience
Il est temps je crois, partons bons amis
Notre histoire se termine, comme elle avait commencé
C’était tard le soir et par un temps de pluie
Sans émotions de ta part et ça n’a pas changé depuis
J’y ai beaucoup trop pensé, tu m’as donné une image de toi
Dont tu n’arrivais pas à la cheville en fait
J’y ai cru quelque fois, jusqu’à réaliser qu’pour toi
Le chemin qu’on a fait ensemble n’était qu’un chemin de croix
Et t’étais trop lisse pour être claire, tu vois mon ange
Que le maquillage ne change pas les traits du caractère…
L’apparence, les vices, et leurs contraires… Maintenant
Pense à ouvrir ton esprit avant d’le faire avec tes cuisses
Puisque t’étais ouverte, j’me suis servi, ce corps
Qui est le tien ne s’assimile qu’à une station-service
On se sert et on repart, pas d’quoi s’éterniser
J’ai juste été assez déçu pour en chanson te mépriser
Il m’fallait du sans plomb, j’parle de ton cerveau
Genre vaut mieux une bombe totalement conne qu’un veau intelligent
C’est bien pour les bourses, pour l’argent un peu moins bon
Mais à coté d’une idiote, j’me sentais un peu moins con
Et remercie-moi, j’te permets d’jouer la victime…
Et vu les mots que j’te destine, c’est tout à fait légitime
Avec tes airs de sainte, tu plairas à ces messieurs
Qui t’regarderont dans les yeux, juste parce que tu n’as pas d’seins
Et singe-moi si tu veux, toute ta vie t’as eu l’air bête
C’est pas 5 minutes en plus qui vont t’refiler de l’herpès
Là, mes mots sont abrégés, pour la seule espèce au monde
Avec une aussi grosse tête et l’encéphale allégé
Ma raison m’a dit, mecton, en fait c’est toi l’idiot
Car pour aimer ce genre de go, faut vraiment vraiment être con
Alors j’me dis que j’n’aimais que, c’que tu faisais dans mon crâne
Tu m’remontais le moral et vu qu’je pense avec ma…
Que de remontrances, en fait c’est moi l’perdu
Toi ton cerveau est dilaté, vu qu’tu penses uniquement avec ton…
Customisé jusqu’au vagin, tout le chemin qui y mène
Laisse à penser qu’t’as vraiment pas que l’hymen percé
Et persévère, à jouer la sainte-nitouche
On sait qu’tu t’couches la veille du premier rendez-vous
Et qu’souvent saoule t’es limitée à laisser tout l’monde visiter
Tous les recoins de ton appartement et d’ton intimité
Et j’aurais pas d’prénom dans tes histoires de mecs
J’serais qu’un autre connard sur lequel t’es tombée, disons…
Que tes copines m’insulteront parce qu’elles sont bêtes
Et qu’elles prennent aussi les gars comme moi pour des pigeons
Ça sert à rien d’dire que toutes les histoires tombent à l’eau, nan
Tu baiserais pas des salauds si tu respectais les gars bien
Parce qu’à la base, j’vais t’dire une chose, les gars croient à l’eau de rose
Jusqu’à tomber sur une salope mégalo
Dans l’genre qui a moins dans la tête que dans les seufs
Et tu vois, j’suis pas l’premier rappeur qui insulte une meuf
Comme quoi… T’as pas tourné qu’chez moi…
Dans leurs sons, ils n’insultaient pas la femme en général
Ouais, ils parlaient que de toi…
J’sais qu’y’a trop d’gars sur terre, mais qu’t’as vraiment pas chômé
Et vu qu’t’as arrêté d’compter, bah tu t’es au moins fait le tiers
Parmi tous ces cassoces, y avait moi… Et y en a plein
Qui t’auraient traitée de putain… Alors que tu fais ça gratos
Parle pas de condescendance, j’ai jamais fais le fier
Ce son n’est destiné qu’à toi, pas besoin d’monter une assoc’
Parait qu’derrière une chienne, y a une femme qui a souffert…
À d’autres s’te plait, moi j’sais qu’t’es pourrie jusqu’à l’os
Alors, je prends la porte, mais me traite pas de macho
T’es une machine à mensonge, et tes copines en émoi
Devant la façon dont tu t’comportes laissent à songer qu’bon…
T’es beaucoup plus misogyne que moi…
À nous deux je mets un terme, ouais c’est toi qui m’a quitté
Mais j’m’en fous, mon égo tu l’as souillé…
J’me suis acquitté d’la tache… J’parle de toi
Vu qu’pour moi t’es plus qu’une trace de sperme sur un drap mouillé