Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Jean-Pierre Ferland
Vous avez nom que je voudrais pour ma maîtresse
Vous avez nom que les amours devraient connaître
Mais ils vivront ce que vivent les roses
L'espace d'un, vous savez quoi
Ne s'appelleront jamais immortelles
Ne seront jamais qu'un feu de joie
Mais vous ne saurez jamais le soir d'une vieillesse
Où vieil amour sur vieil amour, las, on se berce
Le cœur usé mais plus tendre qu'avant
Fragile à l'œil, sensible au vent
Sachant la vie sur son dernier printemps
Pauvres immortelles
Et le plus se tresse ma chanson, le plus je pense
Que ce qui meurt a plus de poids et d'importance
J'amoure la vie, ma mie, à ma façon
J'aime l'amour et le printemps
Comme je voudrais, ce soir, que ma chanson
S'achève et meure tout doucement
Mais vous avez nom que je voudrais pour ma maîtresse...