(A.Chenneviere/P.Periz)
Le vent qui souffle sur le monde
Emporte partout à la ronde
Le souvenir des villes mortes
La voix de l'océan qui gronde
Le vent qui souffle sur la piste
Ne peut pas tout dissimuler
Quand les nuages lui résistent
C'est que l'homme est dans le secret
Il a vu mourir l'Atlantide
Engloutie sous les eaux fétides
Il verra un jour disparaître
Les géants qui règnent en maîtres
Le vent qui passe sur la ville
Souffle le chaud et puis le froid
Il sait que là-bas dans les îles
A nouveau se répand l'effroi
Le vent ne vend et ne veux rien
Que souffler toujours et sans fin
Sur ses ailes viendra le venin
Et le vent n'y peut vraiment rien
Il a vu tomber les pyramides
Engloutie par le sable limpide
Il verra un jour disparaître
Les géants qui règnent en maîtres
Le vent fait entendre sa voix
Mais les hommes ne l'écoutent pas
Il a vu le premier matin
Et sera là encore demain
Il a vu mourir l'Atlantide
Engloutie sous les eaux fétides
Il verra un jour disparaître
Les géants qui règnent en maîtres