Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Laurent Voulzy
Mon air et mes mots subtils
Disent que mon coeur en 2010
Voudrait tant je le sens
Partir en quatorze cent
C'est un salon gothique vaste et mélancolique
Où comme une âme en peine moi je traîne
La -haut parmi les ombres
Un tableau très sombre me retient toujours
Comme un amour
La nuit souvent
J'emprunte du temps le labyrinthe
Pour m'allonger dans le tableau
Près d'une épée sortie
Vous, dans l'herbe,endormie
Devant un pyasage,votre visage
Qui la nuit vient vers moi
Provoquant l'émoi que je chante aujourd'hui
Comme un ennui
Alors le vent se lève
Je sens bouger vos lèvres
Et là-bas,les soldats ne nous voient pas
Votre pourpoint qui s'ouvre
Au loin les tours du louvre
Le ciel est tourmenté par vos beautés
Et mon air et mes mots subtils
Disent que mon coeur en 2010
Voudrait tant je le sens
Partir en quatorze cent