Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Joseph d’Anvers
Ta peau se crispe sous ses doigts
Tu regrettes déjà, mais tu ne peux pas
Lui dire que tu ne pourras jamais
Lui faire croire que tu vas l'aimer
Il brûle ton corps de ses efforts
Il s'ennivre de cette petite mort
Tu t'imagines dans d'autres bras
Tu fermes les yeux, et tu y crois
Tu vois les minutes qui s'égrainent
Tu voudrais lui hurler ta haine
Oublier la honte de vos corps
Souillés par l'erreur et les torts
Tu caresses sa peau humide
Tes yeux de leurs larmes se vident
Ca le rend fier et tu suffoques
Tu désespères et il s'en moque
La vie est un putain
Qui nous prend par la main
La vie est une putain
Qui n'attend pas demain
Tu voudrais perdre les raisons
Et tu ignores même leur nom
Tu te fais mal à en aimer
Vouloir toujours recommencer
Et quand tu t'endors c'est fini
Tu te confines à ton oubli
Et quand tu t'endors c'est ta vie
Qui recommence près de lui
La vie est une putain
Qui nous prend par la main
La vie est une putain
Qui n'attend pas demain
Le jour se lève sur vos vies
Un peu plus usées aujourd'hui
La nuit s'achève et dieu merci
Elle a su le prendre avec elle
Tu marches dans les rues étroites
La tête haute, la tête droite
Tu sauras l'attendre s'il le faut
Tu sauras oublier tes mots
La vie est une putain
Qui nous prend par la main
La vie est une putain
Qui n'attend pas demain