Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat
Des heures de voyage à travers la pampa
M'ont fait comme un soleil sur des neiges éternelles
Quelle paix intérieure - Dieu, quelles promenades
Toutes les sensations viennent de mon travail
L'idée de ton retour, splendide comme jamais
Torturant et étrange, fait souffrir de l'époque
Il n'y a pour le moment plus de poissons dans l'eau
Je ne comprends pas les hommes
Jouir et puis manger me font pertes inouïes
Comme me donnent raison ces sales événements
Je l'ai toujours senti, mes lèvres sur la montagne
Adieu bonne nature
A tant craindre l'amour, il n'y a rien de nouveau
En musique de chambre, endroit chaud et douillet
L'Europe est le désordre qui tourment à son gré
Je tiens au compte-gouttes
Je rencontre aujourd'hui, un agneau dans les bras
Ton grand paquebot blanc qu'on traîne à l'échafaud
Les travaux, la maison me font beaucoup de bien
Je ne crains pas l'hiver