Claude-Michel Schönberg & Rose Laurens & Maurice Barrier
Claude-Michel Schönberg & Rose Laurens
Claude-Michel Schönberg & Rose Laurens &
Claude-Michel Schönberg & Rose Laurens
Claude-Michel Schönberg & Rose Laurens & Jacques Mercier
Claude-Michel Schönberg & Rose Laurens & Jacques Mercier & Maurice Barrier
Claude-Michel Schönberg &
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
Claude-Michel Schönberg
[Fantine]
J'avais de si jolis défauts
J'étais rêveuse, j'étais coquette
Un peu naïve, mais pas trop
Pour ne jamais perdre la tête
Et je me faisais fête
D'un chant d'oiseau, d'un jour nouveau
Je n'ai plus qu'une robe grise
Qui sert aussi de couverture
Quand le vent glacé de l'hiver
Tourne la nuit dans ma masure
Et plus beaucoup d'honneur
De dignité au fond du coeur
[Chorus]
La misère n'est mère de personne
La misère est pourtant soeur des hommes
Mais personne sur terre n'en veut pour fille
Comme bâtarde née dans un cachot de la Bastille
La misère enfante la détresse
Bien des vices et toutes les faiblesses
La misère lâche la bête en l'homme
Et la mésange alors en chienne errante se transforme
Il faut qu'on se sente survivre
Dans un enfant qu'on a fait vivre
Et qu'en sa source d'innocence
On noie notre désespérance
Pour ne pas mettre fin
À cette vie sans lendemain
La misère n'est mère de personne
La misère est pourtant soeur des hommes
Mais personne sur terre n'en veut pour fille
Comme bâtarde née dans un cachot de la Bastille
La misère enfante la détresse
Bien des vices et toutes les faiblesses
La misère lâche la bête en l'homme
Et la mésange alors en chienne errante se transforme