Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Roch Voisine
Elle a de grands yeux qui dérangent
Cette ville un peu étrange
Une longue voile de chemin de fer
Presqu'une route et puis l'enfer
Où rien ne fleurit, rien ne change
Ses enfants naissent, et vivent
Et passent
Au sourires habillés de crasse
Kibera non rien ne t'efface
Kibera, Kibera
Il y a le feu qui brûle en toi
Kibera, Kibera
Ce feu que les autres n'ont pas
Kibera, Kibera
Tu mêles la peine à ta voix
Kibera si forte au fond de moi
C'est qu'une immense étendue d'âmes
Quelques millions d'hommes et de femmes
Une île aux portes de la ville
Où même l'ombre est inutile
Aux jours de chaleur et de flammes
Et moi qui suis venu d'en face
Moi qui n'étais pas à ma place
Kibera, non rien ne t'efface
Kibera, Kibera
Il y a le feu qui brûle en toi
Kibera, Kibera
Ce feu que les autres n'ont pas
Kibera, Kibera
Tu mêles la peine à ta voix
Kibera si forte au fond de moi
Xallé Wroule Djove
Xallé Waroulle xiff
Wanté gnomne gni ngui ré
Tes enfants naissent, et vivent
Et passent
Aux sourires habillés de crasse
Kibera non rien ne t'efface t'efface
Kibera, Kibera
Il y a le feu qui brûle en toi
Kibera, Kibera
Ce feu que les autres n'ont pas
Kibera, Kibera
Tu mêles la peine à ta voix
Kibera, Kibera
Si forte au fond de moi...