Je vois les valses du feu
Qui valsent un air langoureux
Je vois ce qu'est la douceur
De t'aimer quand tu dors
Tranquille près de moi
En automne
En dormant à quoi peux-tu rêver ?
Tes cheveux sentent encore la forêt
Et ton souffle est pour moi plus léger
Que le vent berçant les peupliers
Je vois les valses passer
Jaillir de la cheminée
Et je rеvois les regards
Les sourirеs attristés
De ceux qui m'aimaient
Avant toi
En dormant c'était toi que j'aimais
J'attendais toujours de te retrouver
Je savais que rien ne compterait
À l'automne où tu me sourirais