Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Luc De Larochellière
Je sais qu’c’est pas l’paradis, même quand (si) on fait c’qu’on peut
Y’aura toujours plus beau qu’ici, toujours plus vert plus bleu
Mais pourtant d’temps en temps, j’me surprend à être heureux
Même si les jours (la vie) nous laissent trop souvent
Des grands cernes sous les yeux
Y’a des soirs, j’ai espoir, qu’on arrivera tous les deux
À danser sur nos jours les plus noirs
Même si comme on dit
Je sais qu’c’est pas l’paradis, mais c’est c’qu’on a de mieux
Rien n’est toujours parfait ici, nos anges sont paresseux
Et (mais) pourtant d’temps en temps, j’me surprends à être heureux
J’dirais pas qu’c’est l’bonheur toutes les heures
J’mentirais pas pour si peu
Mais des fois, y’a d’la joie et bien assez pour nous deux
Et dis-moi donc c’qu’y a d’plus important
Qu’ici maintenant
Y’aura toujours que’que chose, que’que part, n’importe où
Des tremblements d’terre à Katmandou
Des pirates de l’air, des présidents fous
Je sais qu’c’est pas l’paradis, même si c’est c’qu’on veut (quand on fait c’qu’on peut)
Mais y’aura toujours bien pire qu’ici, même gris, même quand il pleut
Et pourtant d’temps en temps, j’me surprends à être heureux
Même si l’av’nir est plutôt branlant
Manquerait juste si tu veux
Que tu viennes, que tu m’tiennes
Et qu’tu m’dises dans l’blanc des yeux
Que tu m’aimes et qu’y’a rien d’mieux qu’ici
Ici maintenant
Je sais qu’c’est pas l’paradis