Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
Christophe Maé
(Lionel Florence/Christophe Maé/Jean-François Oricelli)
On oublie un peu facilement d'où l'on vient, d'où l'on part
Ca nous arrange de perdre de temps en temps la mémoire
Quand il y a danger, on regarde son voisin, c'est bizarre
Sans voir qu'on l'a peut-être laissé trop longtemps à l'écart
Y'a-t-il un cœur qui s'élève pour qu' tout le monde soit d'accord ?
Un cœur qui prenne la relève, quelqu'un qui vienne en renfort ?
C'est ma terre, où je m'assois
Ma rivière, l'eau que je bois, qu'on n'y touche pas
C'est mes frères autour de moi
Mes repères et ma seule voie, qu'on n'y touche pas
On n'alimente nos peurs qu'en détournant nos regards
De nos belles valeurs, qui ne serait pourtant qu'un devoir
Si l'on apprenait à se prendre la main, à se voir
Autrement que des inconnus qui ne font rien qu'des histoires
Y'a-t-il un cœur qui s'élève pour qu' tout le monde soit d'accord ?
Un cœur qui prenne la relève, quelqu'un qui vienne en renfort ?
C'est ma terre, où je m'assois
Ma rivière, l'eau que je bois, qu'on n'y touche pas
C'est mes frères autour de moi
Mes repères et ma seule voie, qu'on n'y touche pas
C'est ma terre, où je m'assois
Ma rivière, l'eau que je bois, qu'on n'y touche pas
C'est mes frères autour de moi
Mes repères et ma seule voie, qu'on n'y touche pas