Ambiance d’hiver

[Couplet 1]
T’sais qu’on a commencé la vie avec des grammes pochtonnés dans les poches
Pas l’son, des rageux et envieux, ceux d’en bas veulent que j’loupe le coche
Cœur sombre en manque de courant, mes veines ont besoin de coup de cross
Ce soir je me sens comme un lundi, je vais marcher loin les mains dans les poches
Social, je fumais devant lеs gens, être légèremеnt plus intelligent
Parler du plan c’est pas le bon moment, je le dit seulement j’arrive calmement
Tu cherches c’est qui, c’est les 2005 qui ont cassé ta portière
J’ai choisi d’être devant l’Antipop qu’être menotté sur la banquette

[Pré-refrain]
Et c’est la vie, malheureusement les vrais sont peu
Et tu sais pas les millions d’idées que j’ai par 100 pas
Je compte sur mes doigts, les soutiens depuis toujours dehors
Va-t’en, si tu penses que j’arriverai à rien sans toi

[Refrain]
J’cours après le temps dans la ville, souvent solitaire
L’indispensable n’existe pas,ouais, sans eux c’est la même
Cet hiver, je suis loin j’réponds pas je suis navré
Ah, cellulaire qui sonne, ouais, sur mon répondeur

Il pleut, donc je broie du noir à la recherche des étoiles
Cœur mouillé sur le trajet, je n’ai pas esquiver les flaques, non
Poser sur de l’herbe en mode avion, j’écris des phrases
Je m’en irai vers 7h, avant que le jour se lève

[Couplet 2]
Des faux amis, je jette dans la benne
Les moutons n’ont rien à faire dans la jungle
Les petits ont volé un Clio 2, pourtant la moitié ne sont pas majeur
Je rentre à la maison, toujours la même, Hall du bâtiment sans cigarette
Je vois gyrophares par la fenêtre, je referme les rideaux, je vais m’allonger
Je ferme les yeux j’vais dans mes rêves, j’en ai trop marre des gens
Sur l’oreiller, mon casque à fond, loin des embrouilles dehors
Et comme je taf ils ont changé, ils veulent me voir comme eux
Bientôt on passera le step, ils seront loin de moi

[Pré-refrain]
Et c’est la vie, malheureusement les vrais sont peu
Et tu sais pas les millions d’idées que j’ai par 100 pas
Je compte sur mes doigts, les soutiens depuis toujours dehors
Va-t’en, si tu penses que j’arriverai à rien sans toi

[Refrain]
J’cours après le temps dans la ville, souvent solitaire
L’indispensable n’existe pas,ouais, sans eux c’est la même
Cet hiver, je suis loin j’réponds pas je suis navré
Ah, cellulaire qui sonne, ouais, sur mon répondeur

Il pleut, donc je broie du noir à la recherche des étoiles
Cœur mouillé sur le trajet, je n’ai pas esquiver les flaques, non
Poser sur de l’herbe en mode avion, j’écris des phrases
Je m’en irai vers 7h, avant que le jour se lève