Envoûtés par des beautés panoramiques
On vit sous les bombes anatomiques
Et dans leurs magiques rondeurs en douceur
On en voit de toutes les douleurs
Elles nous griffent de tous les charmes de leur corps
Parfois jusqu'au sang, j'en pleure encore
Souvent elles nous flanquent la frousse, même les douces
Elles s'amusent, elles jouent l'amour aux trousses
Les femmes
Tant de charmes
Les femmes
Nous enflamment
Et quand elles allument en bleu leurs grands yeux
Alors là, on n'y voit que du feu
Attention car tout est cousu de mystère
Dans le noir étrange de leurs yeux clairs
Les femmes
Tant de charmes
Les femmes
Nous enflamment
Elles sont lascives et parfumées en sauvages
Elles n'auront jamais un seul visage
Et nos amours singuliers trop cruels
Se déclinent au féminin pluriel
Les femmes
Tant de charmes
Les femmes
Nous enflamment