Jeune G, Dope Ville
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi
Je vis la nuit pour renaître le jour
Je fais que boire, jour après jour
Verres après verres
Entre ciel et terre
La mort me guette, me dit « attends ton, attends ton tour »
Notre descente est mortelle
A proximité des enfers
Je suis le Juice, tu es le diable
Tu me dis « viens »
Je te dis « merde »
Et je reprends un verre, celui de trop
Celui qui m’emmènera peut-être tout là-haut
Avec les anges, mon Dieu de lumière
Bonjour mon Roi, oui j’ai de la peine
Je ne sais pas qui m’a coupé les ailes
Est-ce bien lui ?
Est-ce bien elle ?
Cette petite lumière, au bout du tunnel
Paris ma plume s’imbibe
Chaque jour, chaque soir de pleine lune
Mes loups et mes chiennes
Tous la même haine
Tous dans la même bulle
Tous les mêmes rêves
Malheureusement prisonnier de la thune
Tous les mêmes abus
J’ai peur, je fuis, je me tue
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi
Je suis un homme
Je suis une ombre
Je suis poussière
Je suis une tombe
La nuit je ne rêve plus
J’fais des cauchemars
Je vois des mecs masqués qui me plombent
Je vois les guerres et je vois les bombes
Des religions dont le monde est contre
C’est facile d’orienter les cons
Frère, reste juste instruis si t’es bon
J’ai les poches remplies de caillasseries
T’façon je serai nu si y’a un paradis
Je n’ai jamais eu trop de yebi
Du mec pauvre, j’ai la panoplie
Frère, frère, frère
J’suis donneur et voleur
Souvent dans le vrai
Mais parfois menteur
Quand j’dis que je n’ai pas peur d’aller au diable
Car J’suis pas une bonne sœur
J’suis sur le fil entre plaisir et douleur
Paris ma plume s’imbibe
Chaque jour, chaque soir de pleine lune
Mes loups et mes chiennes
Tous la même haine
Tous dans la même bulle
Tous les mêmes rêves
Malheureusement prisonnier de la thune
Tous les mêmes abus
J’ai peur, je fuis, je me tue
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Paris ma plume s’imbibe
Chaque jour, chaque soir de pleine lune
Mes loups et mes chiennes
Tous la même haine
Tous dans la même bulle
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Je préfère dire que j’y crois
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne sais, je ne sais pas trop pourquoi
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Ca se passe en bas de chez toi
Paris, ma plume est à toi
Ce que j’écris, je le vis
Mes rêves, je préfère dire que j’y crois
Paris, ma plume est à toi
Paris, ma plume est à toi
Je vis la nuit pour renaître le jour
Je fais que boire, jour après jour
Je ne suis, je ne suis qu’un villageois
Je suis peut-être comme toi