COUPLET 1
T’as bcp d’ego mais t’as un p’tit cerveau
La pro d on la retourne, recto verso
Nous on y go avec, nervosité
Curiosité ta le, museau brisé
Plutôt quitter virtualité
Dans la teter, virtuosité
La nuit j’ai des putin d’idées, J’suis Mouvementé
Trop hésiter à vous montrer ma monstruosité
Pas envie de luminosité
Je la ferme quand il faut
Y’a plus rien de quantifiable
Ton poto n’est même plus fiable
Le ciel gris il équivaut
À toutes nos pensée bresom
C’est vrai que, Tout ressemblе à du béton
Plus rien n’a de couleur c’еst dur de remonter la pente quand on est seul
Une impression qu’ici plus rien ne s’vaut ouai
REFRAIN
Vasi pose toi, écoute la pluie, son harmonie
Soigne ton agonie
Vasi pose toi, écoute ton ami, l’est ramolli
Soigne son agonie
PONT :
Ok ok
Nan y a un vrai message d'espoir la
Moi c'est exactement ce que je voulais hein
Apres tout ce qu'on a vécu
On tiens un truc, faut pas lâcher
Nan C'est lourd
Faut que j’continue, j'enchaîne
COUPLET 2
Parfois la vie décide, a ta place et faut si faire
On veut s’tailler d’ici, tous les mois c’est la misère
On sait que le secret, c’est d’rester solidaire
On s’regroupe pour hurler, vasi nique le commissaire
Dehors y’a des potos qui s’tape
Avec leur jogo kipsta
On se prend pas pour des stars
Mais
C’est bientôt le coup d’état
Tu penses à ton avenir, avec un visage douteux
Nous tout cqu’on rêve ici, c’est seulement d’la Douceur
Et là j’suis embêter, avec ces droits d’auteurs
On pense qu’a une seule chose, vacances aux mois d’août
Les yeux mouillé je gratte, Très peu de page blanche
Avant qu’je sois stupide, enlève cette arme blanche
Bien sûr j’me sent exclu, Aucune Appartenance
Trop d’atrocité jette moi Une grenade aveuglante
REFRAIN
Ecoute la pluie, son harmonie, apaise ton esprit
Vasi pose toi, écoute la pluie, son harmonie
Soigne ton agonie
Vasi pose toi, écoute ton ami, l’est ramolli
Soigne son agonie
Ecoute la pluie, son harmonie, apaise ton esprit
Vasi pose toi, écoute la pluie, son harmonie
Soigne ton agonie
Vasi pose toi, écoute ton ami, l’est ramolli
Soigne son agonie